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Chatterie de Cuivre et d'Or

élevage de British Longhair et Shorthair

 

 

 

 

 

 

 

  • Son caratère :

Le British est connu pour son caractère égal et affectueux. La majorité des British sont, en effet, très tolérants, amicaux et très adaptables. Jusqu'à un an ou deux, les petits sont tout aussi joueurs que les autres chats, mais passé ce cap, ils deviennent moins actif. Il n'est pas dans leur nature de donner de la voix pour attirer l'attention. Parfois, ils dorment pendant des heures, mais adorent aussi etre câlinés et caressés, ils aiment avoir beaucoup de contacts avec les membres de leur famille. Mais malgré cette nature placide, le British ne supporte pas tout ; en cas de contrariété, il sait le faire savoir. C'est un chat sociable qui s'entend généralement très bien avec ses congénères chats comme avec les chiens. Grâce à son bon caractère et à sa gentillesse, il partage volontiers son territoire avec les enfants.

 

  • Notre histoire :

Ma passion pour le British est née en 2007, en le découvrant chez une amie éleveuse.
En 2014, je décide de me lancer en ouvrant ma porte à June du Mont des Elfes, ma première British Longhair.

Une relation fusionnelle est née le 27 septembre 2014 quand je l'ai prise dans les bras pour la toute première fois

(je remercie encore son éleveuse de me l'avoir confiée), et j'espère qu'elle sera encore prés de moi pour de nombreuses années.

  • Son histoire :

Le British est originaire de Grande-Bretagne. Ils furent appelés british shorthair pour les distinguer d'une part des chats étrangers, orientaux et d'autre part, pour les différencier des chats à poils longs. Il est l'homologue de l'européen de l'Europe continentale et de l'american shorthair des États-Unis. Il est vraisemblable que dès le début des années 1900, les british shorthair aient été importés vers les États-Unis, bien qu'ils aient été enregistrés sous le nom "domestic shorthair" jusque dans les années 1950. La Première Guerre mondiale porta un coup important à l'élevage de british shorthair, presque éteint. Afin de pouvoir relancer la race, des croisements avec des chats sans pedigree furent pratiqués, ayant pour conséquence la perte du physique typique à la race. Pour leur redonner leur rondeur perdue, le persan fut utilisé. Après la Seconde Guerre mondiale, le même scenario se reproduisit. En plus des chats de gouttière, il est vraisemblable que des croisements avec des bleus russes, des burmeses et des chartreux aient eu lieu. Les conséquences furent les mêmes qu'après la Première Guerre mondiale et il fallut à nouveau faire appel aux persans. Le gène du poil long fut ainsi introduit dans la race. Les chatons nés avec le poil mi-long dans les portées de british shorthair furent longtemps délaissés mais en France, en 2000, la variété fut reconnue sous le nom de british longhair.

 

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